Shelter-Afrique a obtenu pour la 5ème fois l’autorisation du CREPMF pour l’émission d’un emprunt obligataire de 10 milliards de FCFA

Shelter-Afrique, l’institution panafricaine de financement de l’habitat et du développement urbain, a obtenu l’autorisation du CREPMF (Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers) le 4 novembre 2013, pour émettre des obligations d’une valeur totale de 10 milliards de FCFA. Les obligations seront cotées à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), comme les 4 émissions précédentes. Les fonds levés par cette émission serviront à financer des projets de logements dans les pays membres de l’Union économique et monétaire (UEMOA). Globalement, l’émission financera la construction de 152 logements prévus au Togo, 115 logements en Côte d’Ivoire, des terrains de 1810 et la construction de 586 logements sociaux au Sénégal, et la construction de 299 villas en Côte d’Ivoire. En outre, on s’attend à ce que les ressources mobilisées à partir de l’émission d’obligations génèrent le coup de pouce nécessaire au développement de logements abordables dans la région. Alassane BA, Directeur de Shelter Afrique, a déclaré que “cette autorisation s’inscrit dans la continuité des précédentes interventions de Shelter Afrique sur les marchés financiers africains en tant qu’émetteur récurrent. Shelter-Afrique cherche toujours à lever des fonds sur les marchés financiers pour financer des logements abordables. ” En septembre 2013, Shelter-Afrique a émis des obligations d’un montant de 5 milliards de Kshs (58 millions de dollars) par l’intermédiaire du Securities Exchange Nairobi pour financer des prêts en monnaie locale pour des projets de logements au Kenya. L’obligation à moyen terme Kshs 5 milliards a été sursouscrite à hauteur de 43%, ce qui démontre la confiance considérable que le plus grand marché financier d’Afrique de l’Est et les investisseurs locaux ont montré dans le financement du logement et le développement urbain de l’institution Pan. Le modèle d’affaires de Shelter Afrique repose en grande partie sur le retrait de fonds en monnaie locale sur les marchés financiers régionaux pour financer des projets de logements abordables. Des obligations d’un montant de 5 milliards de Kshs (58 millions de dollars) sont cotées à la Bourse de Nairobi et les négociations y afférentes ont débuté le jeudi 24 octobre 2013. L’institution panafricaine de financement du logement et du développement urbain, est maintenant reconnue comme l’un des émetteurs d’obligations les plus dynamiques sur les marchés financiers africains et régionaux.Les fonds levés sur les marchés financiers ont été utilisés pour financer la demande croissante et l’énorme potentiel inexploité du marché immobilier africain, qui a été sévèrement handicapé par le manque de financement adéquat à des prix abordables. Shelter-Afrique est une institution financière panafricaine qui se consacre au développement du logement social en Afrique. Les interventions de l’institution ont un impact direct et positif sur la vie des populations africaines, en répondant aux besoins des populations urbaines en croissance rapide, et en améliorant les conditions de vie de ces sociétés.en outre, Shelter-Afrique est l’institution d’avant-garde pour le financement de la promotion du logement social sur le continent.elle croit que construire des maisons, c’est aussi développer les familles et les nations. C’est précisément son engagement envers le peuple africain. Shelter-Afrique est soutenue par 44 pays membres classés dans la classe A des actionnaires, et la Banque Africaine de Développement (BAD) et la Société Africaine de Réassurance (AFRICA-RE) qui sont classés comme actionnaires de la classe B. L’institution travaille depuis 31 ans et pendant cette période elle a mobilisé plus de 500 millions de dollars américains et a réalisé 300 projets de logement dans les pays membres. Au cours de cette période, la valeur cumulée des approbations de prêts a augmenté à 600 millions de dollars US.

Visite de responsables du Groupe Ecobank à Shelter Afrique GROUPE ECOBANK

De gauche à droite, M. Peter Makau, Directeur régional des comptes, EAC/ Directeur de la banque d’entreprise du pays, Ecobank Kenya. Deuxièmement à gauche, Directeur Général Adjoint du Groupe – M. Albert Essien Troisième à gauche, le nouveau directeur général d’Ecobank Kenya et le chef du cluster Afrique de l’Est – M. Ehouman Kassi Deuxième à droite, Directeur général sortant d’Ecobank Kenya et Directeur du Cluster Afrique de l’Est – M. Tony Okpanachi

Le Fonds panafricain pour l’habitat termine l’année avec une première clôture de 41,5 millions de dollars US

 11 janvier 2013, Nairobi : Shelter Afrique, l’institution financière panafricaine dédiée au financement de logements abordables sur tout le continent, a confirmé la première clôture du Fonds panafricain pour l’habitat (PAHF), à 41,5 millions de dollars US en décembre 2012. Le PAHF est le premier fonds de capital-investissement qui se concentre exclusivement sur le développement du logement en Afrique (en dehors de l’Afrique du Sud), en fournissant un financement par fonds propres et quasi-fonds propres aux promoteurs, et il a été spécifiquement conçu pour répondre à la pénurie croissante de logements en Afrique orientale et australe. Le Fonds vise une clôture finale de 100 millions de dollars US en 2013. Lancé en 2011, Shelter Afrique a confié la gestion du PAHF à Phatisa et a travaillé en étroite collaboration avec un pool d’institutions financières de développement (IFD) africaines et européennes pendant la phase de collecte de fonds. Alassane Ba, le directeur général de Shelter Afrique, a commenté la première clôture : “Shelter Afrique est fière d’avoir terminé l’année 2012 avec le succès de la première clôture du Fonds panafricain pour l’habitat. Le PAHF comblera le manque de capital-risque, qui est notre ressource financière la plus rare, et nous le considérons comme un investissement stratégique clé pour améliorer l’offre de logements abordables en Afrique.” Le fonds investira dans des projets résidentiels à revenus moyens et moyens inférieurs et dans des projets immobiliers à usage mixte, combinant des propriétés résidentielles et commerciales. Il investira principalement dans les principales zones urbaines du Kenya, de l’Ouganda, du Rwanda, de la Tanzanie, du Mozambique et de la Zambie, en s’attachant à atténuer les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance. La PAHF travaillera également en étroite collaboration avec les promoteurs afin d’accroître leurs capacités techniques et d’échelle. À propos de